Post apocalyptique

Pour préserver l’indépendance de la communauté, la cité de Pan accepte une partie de mécanique céleste, un ballon prisonnier intense.

J’attendais autant que je craignais le film Furiosa. Et une fois de plus, George Miller nous rend une copie post-apo impeccable.

Dans le manga Destination Terra, l’humanité a dû fuir la Terre. Contrôlée par un ordinateur, elle aimerait retourner sur la planète mère.

Dans une France ravagée, un pilote de petit avion essaie de sauver sa communauté d’une horde d’envahisseurs, les étoiles s’en balancent.

Quand j’ai vu les affiches de Sweet Tooth avec des enfants trop choux, j’ai douté. Mais en vrai, c’est chouette.

Et si l’Humain revenait sur la Terre un demi million d’années après sa disparition, avec tout son savoir ? Spoiler : ça s’annonce plutôt mal.

Pour sauver le monde, le Visiteur du futur voyage dans le temps pour empêcher l’apocalypse. Mais tout le monde ne voit pas les choses ainsi…

Dans la dystopie très graphique Les invisibles, l’humanité semble condamnée. Mais quelques uns refusent l’inéluctable et vont se battre.

Dans un futur hostile, les villes sont devenues des locomopoles. Mécaniques fatales est le cadeau de Noël parfait pour les jeunes !

Quelle a été ma première dystopie ? Et bien, c’est Niourk de Stefan Wul. On navigue entre post-apo, technologie et humanité dégénérée.