Invasion Los Angeles : du nanar dystopique
Quand j’ai vu Invasion Los Angeles, j’ai pas compris. Puis j’ai vu des éléments dystopiques qui m’ont bien intriguée
Quand j’ai vu Invasion Los Angeles, j’ai pas compris. Puis j’ai vu des éléments dystopiques qui m’ont bien intriguée
Au début des années 2000, on a vraiment cru que les créatures virtuelles allaient remplacer les acteurices. Comme dans le film S1m0ne
Et si on enfermait un bébé dans un show télé dans lequel il allait passer toute sa vie ? C’est le pitch terrifiant de The Truman Show
Carton cinématographique qui a permis à toute une génération de découvrir les dystopies, Hunger Games nous parle de faim, lutte des classes et télé-réalité
Dans le meilleur des mondes, Huxley nous peint une société parfaitement organisée et hiérarchisée. Une utopie ? Pas vraiment…
Une société qui brûle les livres pour mettre la population dans la télé, la poussant au désespoir ? C’est le cauchemar de Fahrenheit 451
Peut-on parler de dystopie sans parler de 1984, un roman qui a posé les bases de ce genre ? Bien sûr que non.
Dans un futur où l’humanité se vautre dans l’oisiveté, un pirate de l’espace protège la planète d’une terrible menace
Si seuls les individus les moins fûtés se reproduisent, court-on à l’effondrement de la civilisation ? C’est le postulat de départ d’Idiocracy, une dystopie hilarante