Clear, la dystopie qui se voile la face
Dans Clear, la réalité se cache derrière des voiles virtuels. Une BD flashy, très esthétique mais manque un peu de logique.
Dans Clear, la réalité se cache derrière des voiles virtuels. Une BD flashy, très esthétique mais manque un peu de logique.
Une revisite de Fahrenheit 451 mais sans la dimension politique et une sauce réac ? C’est Préférence système et c’est compliqué…
En 1987, une dystopie critiquait déjà la télé spectacle. C’était Running Man et je trouve le film très fin dans son message.
Quand j’ai vu Invasion Los Angeles, j’ai pas compris. Puis j’ai vu des éléments dystopiques qui m’ont bien intriguée
Au début des années 2000, on a vraiment cru que les créatures virtuelles allaient remplacer les acteurices. Comme dans le film S1m0ne
Et si on enfermait un bébé dans un show télé dans lequel il allait passer toute sa vie ? C’est le pitch terrifiant de The Truman Show
Carton cinématographique qui a permis à toute une génération de découvrir les dystopies, Hunger Games nous parle de faim, lutte des classes et télé-réalité
Dans le meilleur des mondes, Huxley nous peint une société parfaitement organisée et hiérarchisée. Une utopie ? Pas vraiment…
Une société qui brûle les livres pour mettre la population dans la télé, la poussant au désespoir ? C’est le cauchemar de Fahrenheit 451
Peut-on parler de dystopie sans parler de 1984, un roman qui a posé les bases de ce genre ? Bien sûr que non.