Les super-héros, une autre façon de raconter le fascisme ?
Si les dystopies racontent souvent le fascisme, les histoire de super-héros exploitent finalement le même filon. Un genre voisin, voire frère ?
Si les dystopies racontent souvent le fascisme, les histoire de super-héros exploitent finalement le même filon. Un genre voisin, voire frère ?
Existe-t-il des villes plus parfaites que Tokyo pour avoir l’impression d’être plongé au coeur d’une dystopie ? Je doute.