Paradise, la dystopie fontaine de jouvence
Dans Paradise, une technologie permet de vendre ou de recevoir des années de vie. Une nouvelle économie qui fait grincer quelques dents.
Dans Paradise, une technologie permet de vendre ou de recevoir des années de vie. Une nouvelle économie qui fait grincer quelques dents.
En 1987, Robocop imaginait une ville ravagée par le crime et dont la sécurité dépendait d’une grosse entreprise totalement cynique.
J’aurais aimé vous parler de la dimension dystopique de Mother/Android. Mais je vais m’énerver sur le fait que c’est pas une dystopie.
Encore un film sur des androïdes conscients d’eux-mêmes ? Oui, the Creator propose une esthétique élégant… mais pas grand chose de plus
Dans l’univers des dystopies, il y a quelques classiques incontournables. Dans l’univers cyberpunk, on ne peut pas zapper le Neuromancien
Et si les princesses des parcs Disney étaient des androïdes ? C’est le pitch de départ de The kingdom, une dystopie surprenante
Dans un futur proche, vos yeux sont devenus des caméras et toute votre vie est filmée. C’est le pitch d’Anon et… c’est pas ouf.
En 1987, une dystopie critiquait déjà la télé spectacle. C’était Running Man et je trouve le film très fin dans son message.
Si l’avenir dépeint dans Wall-E est plutôt sombre, ce film Pixar est un véritable feel good movie, à regarder en famille !
Parfois, regardez une dystopie, c’est une expérience. Et mater Zardoz, c’est vraiment un trip difficile à décrire.