Invasion Los Angeles : du nanar dystopique
Quand j’ai vu Invasion Los Angeles, j’ai pas compris. Puis j’ai vu des éléments dystopiques qui m’ont bien intriguée
Quand j’ai vu Invasion Los Angeles, j’ai pas compris. Puis j’ai vu des éléments dystopiques qui m’ont bien intriguée
Il est des films dont on ne saisit pas l’aspect dystopique au premier abord. Comme La cité des enfants perdus, une fable steampunk
En allant voir After Yang, je pensais découvrir une simple histoire d’androïde. J’ai été soufflée par une film d’une poésie incroyable.
Il y a des dystopies très classiques et il y a un Junk Head, film en stop motion japonais foutraque, bien plus profond qu’il n’y paraît.
Existe-t-il une oeuvre qui pourrait contenir toute l’essence des romans de son genre ? Pour moi, oui : c’est Fondation d’Isaac Asimov
Dans La fille de l’eau, l’eau est devenue une denrée précieuse. Noria, apprentie maîtresse du thé nous guide à travers cet univers desséché.
Dans un futur dystopique, l’Inde a basculé dans le fascisme. Dans cet univers cauchemardesque, Shalini cherche sa fille Leila.
Souvent les dystopies naissent de bonnes intentions. La nouvelle Le grand bazar : finale de Stephen King explore cette piste.
Et si des Humains récupéraient des superpouvoirs, feraient-ils le bien ? Dans Coeur d’acier, ça part en dictature.
Une invasion extraterreste, une dystopie ? Sauf que l’ histoire de V, c’est celle du fascisme qui s’installe et une résistance qui s’organise.