C’est le coeur qui lâche en dernier, une dystopie en prison
Le roman de Margaret Artwood, C’est le coeur qui lâche en dernier pose un dilemme : peut-on renoncer à notre liberté pour notre sécurité et notre confort ?
Le roman de Margaret Artwood, C’est le coeur qui lâche en dernier pose un dilemme : peut-on renoncer à notre liberté pour notre sécurité et notre confort ?
Ecrire une dystopie est un défi très stimulant. Mais est-il possible de le faire sans clichés ? Certains échecs narratifs m’interrogent
Saga dystopique culte du cinéma, Terminator nous parle de menace technologique et de fin d’humanité. Quitte à étirer un peu trop le concept
The walking dead, une dystopie ? Oui car quand on dépasse le pur post-apo, on parle surtout de micro-sociétés avec ses propres lois
Une dystopie qui brode sur l’univers des GAFA ? C’est the circle, un film qui réfléchit assez peu sur son propos
Dans le meilleur des mondes, Huxley nous peint une société parfaitement organisée et hiérarchisée. Une utopie ? Pas vraiment…
Une société qui brûle les livres pour mettre la population dans la télé, la poussant au désespoir ? C’est le cauchemar de Fahrenheit 451