Les super-héros, une autre façon de raconter le fascisme ?
Si les dystopies racontent souvent le fascisme, les histoire de super-héros exploitent finalement le même filon. Un genre voisin, voire frère ?
Si les dystopies racontent souvent le fascisme, les histoire de super-héros exploitent finalement le même filon. Un genre voisin, voire frère ?
Ecrire une dystopie est un défi très stimulant. Mais est-il possible de le faire sans clichés ? Certains échecs narratifs m’interrogent
M, le bord de l’abîme nous amène au coeur d’une société chinoise, Ming, est en train de mettre au point un assistant personnel révolutionnaire.
Air promettait un récit de dictature verte en France. Chic, un sujet qui me passionne. Sauf qu’en vrai, c’est juste une histoire de crise de la cinquantaine