1984 : Big Brother is watching you
Peut-on parler de dystopie sans parler de 1984, un roman qui a posé les bases de ce genre ? Bien sûr que non.
Peut-on parler de dystopie sans parler de 1984, un roman qui a posé les bases de ce genre ? Bien sûr que non.
Qui a dit que les dystopies devaient toujours être sombres ? Découvrez Nu, la série où la loi impose à tous de vivre nus…
Dans un futur où l’humanité se vautre dans l’oisiveté, un pirate de l’espace protège la planète d’une terrible menace
La série Trepalium nous narre une dystopie où le travail est une valeur clé dans la ville d’Aquaville, divisée entre ceux qui ont un travail et les autres
Une dystopie où les hommes ont tous disparu mais où il faut continuer à perpétuer l’espèce ? C’est Zérostérone et c’est made in France !
Existe-t-il des villes plus parfaites que Tokyo pour avoir l’impression d’être plongé au coeur d’une dystopie ? Je doute.
Quand la misère frappe le pays, comment garder les pauvres sous contrôle ? En promettant le paradis pour les 3% les plus méritants… Une série Netflix made in Brazil
Quand la pollution a décimé les hommes et que les femmes prennent peu à peu le pouvoir. Histoire d’un monde qui panse peu à peu ses plaies
Une comédie musicale dystopique ? C’est le célébrissime Starmania, drame amoureux dans une mégalopole inhumaine
Est-ce que la dystopie peut s’écrire avec des paillettes ? Après tout, pourquoi pas ?