Niourk : entre post-apo et dystopie
Quelle a été ma première dystopie ? Et bien, c’est Niourk de Stefan Wul. On navigue entre post-apo, technologie et humanité dégénérée.
Quelle a été ma première dystopie ? Et bien, c’est Niourk de Stefan Wul. On navigue entre post-apo, technologie et humanité dégénérée.
Vous avez d’une dystopie cynique, dans décor en néon ? Je vous suggère de découvrir the Lobster, une pépite qui parle d’amour… en quelques sortes
Je suis fascinée par la réalité virtuelle. Quand nous sommes allés au Japon et que
Dystopies et uchronies exploitent souvent des thématiques communes. Dans Avril et le monde truqué, on se penche sur une technologie devenue folle…
Parmi les technologies peu traitées par les dystopies : le jeu vidéo. Cronenberg s’y attelle dans Existenz, optant pour une esthétique très… organique.
Quand je finis un roman sur Audible ou une série sur Netflix, j’ai un réflexe.
Quand on veut raconter une dystopie dans un film, on peut parfois se retrouver bloqué
Dans les dystopies racontant des sociétés autoritaire, il y a le peuple, masse informe et passive. Tenu par la peur ou par l’espoir d’un lendemain meilleur.
Traitant de l’activisme anonyme, V pour Vendetta est ce genre de dystopie qui a fortement frappé les imaginaires et se poursuit dans la « vraie vie »
Parmi les antagonistes des dystopies surtout sociales : les corporations, inhumaines, polluantes et limite esclavagistes.